C'est vrai que la nature a des ressources infinies pour nous émerveiller. Dans le même genre, j'avais vu cette vidéo, c'est filmé par drone et la musique est zen, ça détend pas mal
C'est cool cette vidéo, Keanu ! 🤩 J'aime bien les prises de vue aériennes, ça donne une perspective complètement différente. Ça me rappelle un peu les paysages que j'ai pu voir au Népal, avec des vallées encaissées et des montagnes à perte de vue. 😌 J'ai l'impression de voler moi aussi quand je regarde ça ! Merci pour le partage ! ✈️
Sympa la vidéo, mais perso, je trouve que ça manque un peu de l'émotion qu'on ressent quand on est vraiment sur place. L'écran, même grand, ça ne remplace pas l'odeur de la terre, le vent sur le visage... Enfin, c'est mon avis !
BizVoyageur a raison, l'expérience sur place est irremplaçable, et puis rien ne vaut une bonne photo prise avec son propre appareil ! Bon, sinon, pour revenir à la question initiale d'Amaryllis4581, moi j'ai été marquée par la Patagonie. Les glaciers qui se jettent dans des lacs turquoises, c'est juste dingue. Vous avez déjà testé ?
Ah, la Patagonie... Un endroit qui, ma foi, doit se visiter. J'ajouterais bien les Highlands en Écosse, mais cela est peut-être un peu moins spectaculaire, quoique fort reposant.
Euh, BriseVive, sans vouloir vexer personne, dire qu'il n'y a pas photo entre l'Écosse et la Patagonie, c'est un peu réducteur, non ? Les deux régions ont un charme complètement différent, et tout dépend de ce qu'on recherche. On ne peut pas vraiment comparer des choux et des carottes... Enfin, c'est juste mon humble avis.
TerraSonore a raison, il est vrai qu'il est difficile de comparer des destinations aussi différentes. Ce sont des expériences qui se vivent d'une toute autre manière.
Je suis d'accord avec Amaryllis4581, la comparaison est toujours délicate. Cela dépend du goût de chacun et du type d'expérience que l'on souhaite vivre.
Je partage l'avis d'AmeliaEarhart. Chaque lieu a son propre esprit. Tenez, on parle souvent de records, d'altitudes... Mais on oublie l'essentiel.
Je me souviens d'une étude – je crois qu'elle datait de 2018 – qui montrait que 70% des personnes interrogées lors de randonnées se souvenaient davantage des rencontres et des petits détails inattendus que des panoramas grandioses. Ça en dit long, non ? C'est pas le sommet, c'est le chemin.
Et en parlant de chemin, j'ai récemment lu un article sur l'impact environnemental des sentiers de grande randonnée. Les chiffres sont assez parlants : une étude de l'ONF (datant de 2021) a révélé que certains GR particulièrement fréquentés connaissent une érosion du sol jusqu'à 5 fois supérieure à la normale. C'est un truc auquel on ne pense pas forcément quand on lace ses chaussures, mais ça devrait. Faudrait peut-être limiter le nombre de randonneurs sur certains parcours, où en tout cas mieux sensibiliser les gens. Cela me rappelle une discussion avec un berger du coin qui m'expliquait que ses bêtes avaient du mal à trouver de l'herbe à cause du piétinement incessant. C'est pas toujours facile de concilier tourisme et préservation.
Pourtant, 8 randonneurs sur 10 se disent sensibles aux enjeux environnementaux (source : Ministère de la Transition Écologique, 2022). Faut croire qu'il y a un décalage entre les intentions et les actes. Peut-être que l'information n'est pas assez visible, ou que les gens ne mesurent pas vraiment l'impact de leurs passages répétés. Enfin, c'est une réflexion comme ça...
Et je dis ça alors que moi-même, j'arpente les sentiers dès que j'ai un moment ! Mais bon, j'essaie de faire attention, de ne pas laisser de traces, de respecter la faune et la flore. C'est le minimum, quoi. Et puis, parfois, je me dis qu'une bonne paire de jumelles vaut mieux qu'une photo... On profite mieux du paysage, et on ne dérange pas les animaux. C'est juste une idée.
C'est super pertinent ce que tu dis, MontagneMystique22, sur l'impact environnemental. On est tellement pris par la beauté du paysage qu'on en oublie parfois qu'on contribue à le fragiliser... Limiter le nombre de randonneurs, c'est une idée à creuser, oui. Peut-être qu'un système de "permisderandonnée" comme ils font dans certains parcs nationaux pourrait être une solution ? Ça forcerait aussi à une meilleure sensibilisation avant de partir à l'aventure. En tout cas, ça fait réfléchir...
L'idée du "permisderandonnée", BriseVive, me paraît intéressante, à condition que ça ne devienne pas une usine à gaz administrative. Il faudrait que ce soit simple, accessible, et surtout que l'argent généré serve réellement à la préservation des sites, et pas à financer des bureaux... Parce qu'on connaît la musique, hein.
Et puis, il faut aussi penser à l'aspect social. Si on commence à limiter l'accès à la nature, on risque de créer des inégalités. La rando, c'est quand même un loisir relativement accessible, contrairement à d'autres activités de plein air. Faut pas que ça devienne un truc réservé à une élite qui a les moyens de payer un permis. D'ailleurs, une étude de l'INSEE de 2020 montrait que les activités de pleine nature étaient déjà moins pratiquées par les catégories socio-professionnelles les moins favorisées. Donc, attention à ne pas creuser encore plus le fossé.
En parlant de sensibilisation, je me demande si on ne pourrait pas utiliser davantage les outils numériques. Des applis qui te donnent des infos sur la fragilité des écosystèmes, qui te conseillent des itinéraires alternatifs moins fréquentés, qui te permettent de signaler des problèmes (déchets, érosion, etc.). Ça pourrait être un bon moyen d'impliquer les randonneurs dans la protection de l'environnement. Par exemple, une enquête menée par l'ADEME en 2023 révélait que 65% des Français seraient prêts à utiliser une application mobile pour limiter leur impact environnemental pendant leurs loisirs. Y'a un potentiel, quoi.
Après, faut aussi que les pouvoirs publics se bougent un peu. Parce que bon, sensibiliser les randonneurs, c'est bien, mais si derrière, y'a pas d'infrastructures adaptées (toilettes sèches, poubelles, aménagements pour limiter l'érosion), ça ne sert pas à grand-chose. Et puis, il faudrait peut-être aussi repenser l'aménagement des sentiers. On a tendance à vouloir tout baliser, tout sécuriser, mais parfois, c'est en laissant la nature un peu plus sauvage qu'on la préserve le mieux. Une étude du CNRS de 2019 pointait du doigt l'impact négatif de certains aménagements touristiques sur la biodiversité. Faut trouver le juste milieu, quoi.
Je comprends ton point de vue, TerraSonore, et c'est vrai qu'il faut faire attention à ne pas créer d'inégalités avec un système de permis. Mais je pense qu'il y a d'autres solutions que de se reposer uniquement sur la bonne volonté des randonneurs ou des applications. On pourrait imaginer des quotas par zone, gérés par des systèmes de réservation en ligne, par exemple. Plus contraignant, certes, mais peut-être plus efficace ? 🤔
Commentaires (16)
C'est vrai que la nature a des ressources infinies pour nous émerveiller. Dans le même genre, j'avais vu cette vidéo, c'est filmé par drone et la musique est zen, ça détend pas mal
https://www.youtube.com/watch?v=LxDKKLsemUY[/video]
C'est cool cette vidéo, Keanu ! 🤩 J'aime bien les prises de vue aériennes, ça donne une perspective complètement différente. Ça me rappelle un peu les paysages que j'ai pu voir au Népal, avec des vallées encaissées et des montagnes à perte de vue. 😌 J'ai l'impression de voler moi aussi quand je regarde ça ! Merci pour le partage ! ✈️
Sympa la vidéo, mais perso, je trouve que ça manque un peu de l'émotion qu'on ressent quand on est vraiment sur place. L'écran, même grand, ça ne remplace pas l'odeur de la terre, le vent sur le visage... Enfin, c'est mon avis !
BizVoyageur a raison, l'expérience sur place est irremplaçable, et puis rien ne vaut une bonne photo prise avec son propre appareil ! Bon, sinon, pour revenir à la question initiale d'Amaryllis4581, moi j'ai été marquée par la Patagonie. Les glaciers qui se jettent dans des lacs turquoises, c'est juste dingue. Vous avez déjà testé ?
Merci VoyageAddict3, je note pour la Patagonie! 🤝
Ah, la Patagonie... Un endroit qui, ma foi, doit se visiter. J'ajouterais bien les Highlands en Écosse, mais cela est peut-être un peu moins spectaculaire, quoique fort reposant.
Tout à fait d'accord avec le Professeur Tournesol, l'Ecosse c'est très sympa et tout, mais la Patagonie... Y'a pas photo !
Euh, BriseVive, sans vouloir vexer personne, dire qu'il n'y a pas photo entre l'Écosse et la Patagonie, c'est un peu réducteur, non ? Les deux régions ont un charme complètement différent, et tout dépend de ce qu'on recherche. On ne peut pas vraiment comparer des choux et des carottes... Enfin, c'est juste mon humble avis.
TerraSonore a raison, il est vrai qu'il est difficile de comparer des destinations aussi différentes. Ce sont des expériences qui se vivent d'une toute autre manière.
Je suis d'accord avec Amaryllis4581, la comparaison est toujours délicate. Cela dépend du goût de chacun et du type d'expérience que l'on souhaite vivre.
Absolument.
Exact.
Je partage l'avis d'AmeliaEarhart. Chaque lieu a son propre esprit. Tenez, on parle souvent de records, d'altitudes... Mais on oublie l'essentiel. Je me souviens d'une étude – je crois qu'elle datait de 2018 – qui montrait que 70% des personnes interrogées lors de randonnées se souvenaient davantage des rencontres et des petits détails inattendus que des panoramas grandioses. Ça en dit long, non ? C'est pas le sommet, c'est le chemin. Et en parlant de chemin, j'ai récemment lu un article sur l'impact environnemental des sentiers de grande randonnée. Les chiffres sont assez parlants : une étude de l'ONF (datant de 2021) a révélé que certains GR particulièrement fréquentés connaissent une érosion du sol jusqu'à 5 fois supérieure à la normale. C'est un truc auquel on ne pense pas forcément quand on lace ses chaussures, mais ça devrait. Faudrait peut-être limiter le nombre de randonneurs sur certains parcours, où en tout cas mieux sensibiliser les gens. Cela me rappelle une discussion avec un berger du coin qui m'expliquait que ses bêtes avaient du mal à trouver de l'herbe à cause du piétinement incessant. C'est pas toujours facile de concilier tourisme et préservation. Pourtant, 8 randonneurs sur 10 se disent sensibles aux enjeux environnementaux (source : Ministère de la Transition Écologique, 2022). Faut croire qu'il y a un décalage entre les intentions et les actes. Peut-être que l'information n'est pas assez visible, ou que les gens ne mesurent pas vraiment l'impact de leurs passages répétés. Enfin, c'est une réflexion comme ça... Et je dis ça alors que moi-même, j'arpente les sentiers dès que j'ai un moment ! Mais bon, j'essaie de faire attention, de ne pas laisser de traces, de respecter la faune et la flore. C'est le minimum, quoi. Et puis, parfois, je me dis qu'une bonne paire de jumelles vaut mieux qu'une photo... On profite mieux du paysage, et on ne dérange pas les animaux. C'est juste une idée.
C'est super pertinent ce que tu dis, MontagneMystique22, sur l'impact environnemental. On est tellement pris par la beauté du paysage qu'on en oublie parfois qu'on contribue à le fragiliser... Limiter le nombre de randonneurs, c'est une idée à creuser, oui. Peut-être qu'un système de "permisderandonnée" comme ils font dans certains parcs nationaux pourrait être une solution ? Ça forcerait aussi à une meilleure sensibilisation avant de partir à l'aventure. En tout cas, ça fait réfléchir...
L'idée du "permisderandonnée", BriseVive, me paraît intéressante, à condition que ça ne devienne pas une usine à gaz administrative. Il faudrait que ce soit simple, accessible, et surtout que l'argent généré serve réellement à la préservation des sites, et pas à financer des bureaux... Parce qu'on connaît la musique, hein. Et puis, il faut aussi penser à l'aspect social. Si on commence à limiter l'accès à la nature, on risque de créer des inégalités. La rando, c'est quand même un loisir relativement accessible, contrairement à d'autres activités de plein air. Faut pas que ça devienne un truc réservé à une élite qui a les moyens de payer un permis. D'ailleurs, une étude de l'INSEE de 2020 montrait que les activités de pleine nature étaient déjà moins pratiquées par les catégories socio-professionnelles les moins favorisées. Donc, attention à ne pas creuser encore plus le fossé. En parlant de sensibilisation, je me demande si on ne pourrait pas utiliser davantage les outils numériques. Des applis qui te donnent des infos sur la fragilité des écosystèmes, qui te conseillent des itinéraires alternatifs moins fréquentés, qui te permettent de signaler des problèmes (déchets, érosion, etc.). Ça pourrait être un bon moyen d'impliquer les randonneurs dans la protection de l'environnement. Par exemple, une enquête menée par l'ADEME en 2023 révélait que 65% des Français seraient prêts à utiliser une application mobile pour limiter leur impact environnemental pendant leurs loisirs. Y'a un potentiel, quoi. Après, faut aussi que les pouvoirs publics se bougent un peu. Parce que bon, sensibiliser les randonneurs, c'est bien, mais si derrière, y'a pas d'infrastructures adaptées (toilettes sèches, poubelles, aménagements pour limiter l'érosion), ça ne sert pas à grand-chose. Et puis, il faudrait peut-être aussi repenser l'aménagement des sentiers. On a tendance à vouloir tout baliser, tout sécuriser, mais parfois, c'est en laissant la nature un peu plus sauvage qu'on la préserve le mieux. Une étude du CNRS de 2019 pointait du doigt l'impact négatif de certains aménagements touristiques sur la biodiversité. Faut trouver le juste milieu, quoi.
Je comprends ton point de vue, TerraSonore, et c'est vrai qu'il faut faire attention à ne pas créer d'inégalités avec un système de permis. Mais je pense qu'il y a d'autres solutions que de se reposer uniquement sur la bonne volonté des randonneurs ou des applications. On pourrait imaginer des quotas par zone, gérés par des systèmes de réservation en ligne, par exemple. Plus contraignant, certes, mais peut-être plus efficace ? 🤔